Revue ICAMAR 20

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Revue ICAMAR 20 – 22 juin 2018

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UGS : icamar-20 Catégorie :

Description

  • 107 pages
  • 2,86 Mo

Sommaire

Editorial

Anecdotes

  • L’allumette

Cas remarquable

  • Intérêt de l’auriculothérapie dans la prise en charge des Troubles Spécifiques de Développement du Langage (TSDL) : à propos d’un cas remarquable de dysphasie

Cas Cliniques

  • Observation d’un cas de fatigue intense
  • Cas clinique – Rhinite vasomotrice, sinusite et céphalée
  • Caso clínico – Rinite vasomotora, Sinusite, Cefaleia português

Nouvelle technique de soin

  • Pulsed Magnetic Field, a potentially useful complementary auricular therapeutic option

Classement des points d’oreille

  • Points d’auriculothérapie, nature et traitement
  • Puntos de Auriculoterapia, naturaleza y tratamiento

Obstacles conscients et inconscients

  • Le refus de guérir (en avril 2018)

Présentation de vidéo

  • Vidéo Les champs péridermiques

Revue de littérature

  • Bibliographie de Octobre 2017 à Avril 2018
  • Nouveaux Livres
  • Vue Sur le net

Pratique de cabinet

  • Tampons consultations et observations

Editorial

Il y a huit ans, débutait l’aventure ICAMAR, lancée par une poignée de copains dont le seul souci était de favoriser la pérennité d’une Auriculo médicale, au-delà du clivage des associations ou des pays. Il a fallu trouver progressivement nos marques et nos limites, tout en parvenant à une allure de croisière de deux à trois numéros par an.

Volontaires ou bénévoles ?

Le monde associatif exhorte le bénévolat, alors que le dynamisme repose sur un autre concept, le volontariat. C’est toujours le volontariat qui apporte l’enthousiasme et qui permet de maintenir l’élan. Si notre structure était plus étoffée, le bénévolat ne serait plus la règle. Ayant bien pris conscience de nos limites, nous avons cessé d’organiser des Colloques de rencontres, même s’il y avait une demande.

Un idéalisme ?

Sans notre confiance en l’Auriculo, nous ne serions pas volontaires. Sans les résultats observés, nous ne serions pas ici à tenter de développer la facette éditoriale. C’est bien l’aide réelle apportée aux malades qui alimente notre gratitude. Nous savons l’importance de la relation écrite, pour la transmission de cette flamme !

Un souhait d’objectivité !

Notre choix initial et actuel est d’être une revue médicale (modeste et authentique), en privilégiant l’objectivité et la qualité éditoriale. Qu’il s’agisse de cas cliniques, de débattre de la réalité de l’invisible ou de proposer de nouvelles théories complétant les lustres de recherches, notre choix reste celui d’un enthousiasme prudent.

Quelle est notre richesse ?

Actuellement, les actifs sont débordés par des tâches administratives ; les échanges se font essentiellement sur le mode électronique. Les rares professionnels qui écrivent des articles ne le font guère que lors d’interventions en des réunions nationales ou internationales. Notre richesse n’est pas financière, ni même en terme d’audience (bien souvent versatile) ; elle est dans le pool d’auteurs qui nous font confiance, ainsi que dans un nombre significatif de lecteurs.

L’intérêt des conseils apportés par le comité de lecture.

Lorsqu’un article m’est adressé, je le répercute sur le comité de lecture (Patrick Bécu, Daniel Courty, Yunsan Méas et Raphaël Nogier) dont le rôle porte aussi bien sur le plan du fond que de la forme, ainsi que sur le comité de rédaction (Yves Rouxeville, Dalila Trabelsi-Zeghal, Mauricio Vargas et Pascal Vidal) dont le rôle est plus éthique. De cette façon, les auteurs bénéficient de conseils à la fois paternalistes et professionnels.

Pascal Vidal est le responsable de publication, celui qui décide de la parution d’un article. De son côté, André Lentz a l’importante charge du travail invisible, la mise en page aussi bien pour la version électronique que pour la version papier.

Depuis un an…

La relance effectuée depuis l’Assemblée Générale d’octobre 2017 a permis d’éditer deux nouveaux numéros, qui ne souffrent pas de médiocrité, tant pour leur qualité que pour leur intérêt. Je m’étais donné un an pour aider à assurer la survie d’ICAMAR. Nous sommes honorés de la venue de nouveaux auteurs talentueux.

Et pour demain ?

Chacun remarquera que le n°20 est vraiment d’une qualité rare ; ICAMAR est viable. La revue a montré son intérêt et son utilité. Diverses    écoles    et    sensibilités    y     cohabitent… Naturellement, la formule est perfectible. Mais aussi, nous savons très bien qu’un renouvellement est nécessaire, des collègues en activité apportant un sang nouveau.

ICAMAR sera ce que vous en ferez, ce que vous voudrez !

Yves Rouxeville