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Le réglage électrique sur les Points Maîtres de l’oreille

Etude d'Yves Rouxeville, Patrick Bécu, Marc LeBel, Yunsan Méas, Jean Louis Mémain, publiée dans la Revue ICAMAR n°5 (mars 2012)

L’analyse des points maîtres de l’oreille montre que la majorité de ces points est en baisse d’impédance. Leur recherche pour étalonner le détecteur peut se faire à l’oreille droite et à l’oreille gauche, chez un sujet de formule neuro végétative équilibrée.

Le point zéro n’est pas le seul point que l’on peut contrôler en baisse d’impédance ; d’ailleurs, il n’est pas systématiquement en baisse d’impédance. Le point maxillo-dentaire est également un excellent indicateur.

Chez les sujets de type vagotonique, on contrôle davantage de points en baisse d’impédance à l’oreille gauche. De plus, le point merveilleux est le plus fréquent à l’oreille droite.

Quel que soit l’état, le shenmen et le point maxillo-dentaire sont les points les plus fréquents en baisse d’impédance à l’oreille gauche. Désormais, pourquoi ne pas étalonner sur ces points ?


Mots clés : points maîtres de l’oreille – détection électrique différentielle – état neuro végétatif.

Studies of the Auricular Master Points reveal that most test at a lower electrical impedance level. The auricular test to calibrate the electrical point detector can be performed on the right or left auricle of a subject whose autonomic system is balanced.

Point Zero is not the only point that can be relied upon for lower impedance; it is does not automatically show lower impedance. The maxillary-dental point is also an excellent baseline point.

In subjects with hyperexcitability of the vagus nerve, lower-impedance points on the left ear are monitored. For subjects in this condition, Point Marvelous is the-most-commonly-found point on their right ear.

Whatever the subject’s condition, the shenmen point and the maxillary-dental point are the most frequent lower-impedance points found on the left auricle. In the future, why not calibrate using the above points?


Key Words: Master Points of the auricle – Electrical Differential Detection – Autonomic condition



Notre pratique de l’auriculothérapie est basée sur l’expérience, ce qui a été noté par les anciens, par nos maîtres, nous mêmes ou nos collègues. Trop souvent, nos affirmations sont la propagation d’idées reçues. Qui prend réellement le temps de vérifier les bases ?

C’est ainsi qu’il est admis de régler le détecteur électrique différentiel sur le point zéro, à l’oreille droite du droitier. Après avoir ânonné pendant près de 30 ans ce précepte, osons exprimer un avis différent et novateur, basé sur l’analyse statistique de mesures. Cette opinion se situe bien dans un cadre évolutif de médecine expérimentale, et non pas schismatique par rapport à un dogme établi !

Pour mesurer de manière ponctuelle la résistance cutanée, on fait passer un petit courant électrique (5 µA) au travers de la peau, entre une électrode punctiforme d’environ 1 mm² appliquée à l’oreille et une masse posée sur la paume de la main. Une comparaison est faite avec l’environnement de ce point (la moyenne de la résistance d’une électrode circulaire concentrique, de 2 mm de diamètre).

Cette détection est dite différentielle, car un microprocesseur compare ces deux valeurs (le point et l’environnement) chacune étant exprimée par rapport à la masse [1].

Du fait que la peau est un milieu complexe, compte tenu que le courant est émis un certain nombre de fois par seconde (même s’il est fixe), on parle d’impédance cutanée et non de résistance cutanée.

Le réglage du détecteur électrique

Comme pour tout contrôle instrumental, il est nécessaire d’étalonner l’appareil. Avant la détection différentielle, existait la détection simple (sans comparaison avec l’environnement du point), faite à l’aide du Stigmascope®. On utilisait un bouton de sensibilité commandant une résistance variable. On pouvait laisser le bouton sur des chiffres de valeur faible (seuil bas) pour sélectionner très peu de points. Le seuil élevé était utilisé lorsque l’oreille est très sèche, ou que l’on trouvait vraiment très peu de points sur le pavillon [2].

Pour le premier détecteur différentiel, le Punctoscope®, le réglage se faisait de manière empirique [3]. Puis vint le Diascope®, plus élaboré, avec « un curseur qui permet de l’étalonner avant chaque séance sur le point zéro qui est le seul à répondre en permanence » [4].

Yves Rouxeville indique que le réglage du potentiomètre « se fait classiquement sur le point zéro » pour l’Agiscop DT®, tout en recommandant une élévation de la sensibilité sur les zones convexes, et une baisse de la sensibilité sur les zones concaves [5]. Par contre, Raphaël Nogier n’apporte aucune précision à ce sujet [6].

Le point zéro

« Il est situé au niveau où la racine de l’hélix devient bronche montante, à l’endroit précis où le relief s’élève hors de la conque… Il est repérable grâce à une incisure cartilagineuse qui donne un ressaut lorsqu’on explore la région avec une arête transversale ou avec l’ongle » [7].

« L’oreille présente un point central, situé à la racine de l’hélix. Il représente le nombril et le plexus solaire. Je l’ai appelé le point zéro. Son rôle est tout à fait particulier. Il commande en effet toute l’oreille et son énergie. Il permet d’isoler certains points jusqu’alors muets, lorsqu’il est stimulé par piqûre ou par courant électrique » [8].

D’autres points-maîtres

  • Oleson propose de rechercher le seuil sur le point shenmen avant d’évaluer les autres points [9].
  • Paul Nogier a conseillé également d’étalonner l’appareil sur le point oméga du lobule [10].
  • D’autres points-maîtres de l’oreille peuvent être repérés par l’appareil, sans qu’il soient anormaux.

Tout se passe comme si la détection en baisse d’impédance détectait des points de polarité ortho S, la détection en hausse d’impédance détectant des points à polarité para S [1,p. 88-102], [11, 12]. Cette hypothèse n’ayant pas été contredite à ce jour, elle sera notre base de travail.

Diverses questions ont justifié une étude avec des mesures dans les meilleures conditions :

  • Comment se fait-il que fréquemment le point zéro ne sonne pas (non significatif) ?
  • Serait ce une anomalie liée à un état particulier de la conque ?
  • Serait ce anomalie liée à un état général neurovégétatif ?
  • Les points-maîtres de l’oreille ont ils un tropisme neurovégétatif particulier ?
  • Observe t’on un comportement comparable pour l’oreille droite et l’oreille gauche ?
  • Quels sont les points réellement les plus appropriés pour étalonner le détecteur ?

Seule une étude statistique pouvait tenter de répondre au moins en partie à ces questions. D’autant qu’une grande majorité de praticiens n’étalonne plus le détecteur !

Les points-maîtres retenus

Six points-maîtres ont été retenus pour chaque oreille : le shenmen (point-maître de la fosse triangulaire), le point zéro (point maître de la conque para S), le point zéro prime (point maître du tragus), le point merveilleux (point maître des frontières), le point maxillo-dentaire (point-maître de la partie postéro-supérieure du lobule), le point oméga (point maître de la partie antéro-inférieure du lobule). Ces points, bien répertoriés (fig. 1) [13], sont enseignés au sein de la formation initiale, dans l’enseignement dit unifié (Nantes, Sfax, AASF, CIES, Inde) [1, p. 23, 35, 38-39, 47].

Contrôle de l’impédance de points de l’oreille

Le contrôle électrique a été effectué à l’aide du Modulo 100, sans modifier le paramétrage d’usine. Aucun réglage ni aucun étalonnage n’ont été effectués ; les mesures sont des mesures des chiffres bruts (la référence R étant le repère rouge, LED en milieu du mat du Modulo 100). L’impédance est contrôlée à l’aide du capteur différentiel, après un simple nettoyage de l’oreille, à sec.

Valeurs de l’impédance

  • Baisse d’impédance. Ces points sont mesurés avec une baisse d’impédance équivalent à R (de deux LED en dessous de R à deux LED au dessus de R). Ils seront codés BI.
  • Hausse d’impédance. Ces points sont mesurés avec une élévation d'impédance équivalent à R (de deux LED en dessous de R à deux LED au dessus de R). Ils seront codés HI.
  • Non significatif. Au delà de deux LED au dessus de R en baisse d’impédance. Au delà de deux LED au dessous de R en hausse d’impédance. Ils seront codés NS.

Report des mesures

Ces mesures de contrôle électrique seront reportées sur le sectogramme de Romoli (fig. 1) [1, p. 61], qui est un quadrillage de l’oreille en 40 secteurs. Le sectogramme a été évalué par Marco Romoli auprès de 385 collègues [14] : c’est le meilleur mode de report sur un dessin de schémas transcrits depuis un tableau ou sur un écran, ou depuis l’oreille d’un sujet examiné.

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La formule générale neuro-végétatif d’un sujet

Paul Nogier (…) nous a conseillé la pose (avec ou sans anneau creux) successive d’un anneau test sur la peau de la région inter sourcilière (Inn Trang) : l’un contient un échantillon d’acétylcholine (ACH), l’autre de NorAdrénaline (NA). Selon lui, le nombre de RAC à la suite de la pose de NA et de ACH permettrait d’avoir une approche de la formule neuro végétative du sujet examiné [10].

Plus tard, Bernard Julienne et Alain Mallard (…) ont estimé deux filtres colorés Lee équivalents (Lee 328 équivalent à l’acétylcholine, Lee 148 équivalent à la noradrénaline), ce qui m’avais laissé pantois et dubitatif jusqu’à cette étude. Pour éviter les phénomènes d’induction mentale, nous avons l’habitude de cacher à la vue de l’observateur les étiquettes d’identification.

L’analyse de la formule neuro-végétative se fait en comptant le nombre de RAC déclenché par chaque contact sur la peau de la zone inter sourcilière.

La recherche du R.A.C.

Au cours de cette étude, elle servira uniquement à l’établissement de la formule neuro végétative, (contrôlée à l’aveugle de la pose de ACH et NA, et de la pose de Lee 328 et Lee 148).

La prise du R.A.C. se fera selon les quatre conditions ci dessous : prise du pouls radial, pouce de l’observateur perpendiculaire à la peau (ni le flanc radial, ni le flanc ulnaire de l’artère radiale), l’ongle du pouce de l’observateur dirigé vers le coude du sujet observé, étalonnage préalable et régulier par le filtre Polaroïds croisés sur la ligne sagittale médiane du corps du sujet observé.

25 sujets ont été examinés dans les conditions précisées ci dessus, du 31 août 2011 au 14 novembre 2011. Leur latéralité n’a pas été indiquée. Cependant, la grande majorité est constituée de droitiers.

Conclusions générales

Douze points maîtres (six à l’oreille droite, six à l’oreille gauche) ont été contrôlés par le Modulo 100. Ce qui devrait représenter une évaluation de trois cents (300) points. En réalité, quatre points à l’oreille gauche n’ont pas été renseignés. Cette évaluation porte donc sur 296 points.

  • 197 de ces 296 points (66,5%) sont en baisse d’impédance, BI.
  • 61 de ces 296 points (20,6%) ne sont pas significatifs, NS.
  • 38 de ces points (12,8%) sont en hausse d’impédance (HI).

Oreille droite et oreille gauche (Tableau I)

98 points ont été contrôlés en baisse d’impédance (BI) à l’oreille droite, soit 65,3% de 150.
99 points ont été contrôlés en baisse d’impédance (BI) à l’oreille gauche, soit 67,8% de 146.

La répartition des 197 points contrôlés en baisse d’impédance (BI) montre un phénomène curieux : sur un nombre des 25 mêmes points contrôlés, on observe une répartition variable à l’oreille droite et à l’oreille gauche. Le recrutement maximum en baisse d’impédance (en gris) est :

  • Oreille droite : 18 BI pour zéro, 18 BI pour maxillo dentaire, 17 BI pour zéro prime.
  • Oreille gauche : 21 BI pour shen men, 19 BI pour zéro, 18 BI pour maxillo-dentaire.
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Tableau I : Total des 296 points contrôlés sur 25 sujets

La formule neuro végétative des sujets :

Le nombre de RAC déclenchés par l’anneau test NA et le filtre L 148 a toujours été identique ; il en est de même pour l’anneau test ACH et le filtre L 328. Portant sur l’étude de 296 points, il s’agit bien de simillimum et non de simile ! Ceci nous conduit à être admiratifs envers les qualités tactiles de Bernard Julienne et du regretté Alain Mallard, Prix de l’E.I.P.N. en 1998 !

Sur les 25 sujets :

  • 13 présentent une formule équilibrée : un nombre de RAC identique après la pose de NA et après la pose de ACH (5 à 8 RAC, avec une moyenne de 6,2 RAC).
  • 10 présentent une dominante ACH (assimilable à une vagotonie) avec un nombre de RAC supérieurs après la pose d’ACH (7 à 10 RAC, avec une moyenne de 8,5 RAC) à ceux notés après la pose de NA 5 à 7 RAC, avec une moyenne de 5,6 RAC).
  • 2 présentent une dominante NA (assimilable à une orthosympathicotonie) : deux RAC de plus pour NA par rapport à ACH.

Les deux sous-groupes formule équilibrée et dominante ACH, sont d’un recrutement voisin (13 pour 10). Il est intéressant de les étudier séparément, même si le nombre de sujets testés est limité.

Le fait de noter la présence ou l’absence de variations significatives est instructif. Les conclusions, fait expérimental, pourraient s’imposer et bousculer les anciennes théories, et permettre ainsi de ne plus prendre l’ombre pour la proie !

13 sujets avec une formule neurovégétative dite équilibrée (Tableau II)

Un total de 155 points a été contrôlé, dont 108 points (69,6%) sont en baisse d’impédance.

Sur les 78 points contrôlés à l’oreille droite chez ces 13 sujets, 55 points (70,5%) sont en baisse d’impédance. Les plus fort recrutements sont : Maxillo-dentaire (12), zéro prime (11) et zéro (10).

Sur les 77 points contrôlés à l’oreille gauche chez ces 13 sujets, 53 points (68,9%) sont en baisse d’impédance. Les plus forts recrutements sont : shen men (11), oméga (10), puis zéro (9) et maxillo-dentaire (9).

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Tableau II : Total des 155 points contrôlés sur 10 sujets « équilibrés »

10 sujets avec une formule à dominante ACH (dits vagotoniques) : (Tableau III)

Un total de 118 points a été contrôlé, dont 79 points (66,9%) sont en baisse d’impédance.

Sur les 60 points contrôlés à l’oreille droite chez ces 10 sujets, 35 points (58,3%) sont en baisse d’impédance. Le plus fort recrutement est le point merveilleux (8).

Sur les 58 points contrôlés à l’oreille gauche chez ces 10 sujets, 44 points (75,8%) sont en baisse d’impédance. Les plus forts recrutements sont : Zéro (9), shen men (9) et maxillo-dentaire (8).

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Tableau III : Total des 118 points contrôlés sur 10 sujets « vagotoniques »

Deux sujets avec une formule à dominante NA (dits orthosympathiques)

La seule mesure à retenir est le contrôle non significatif (NS) des quatre points zéro prime (droit et gauche pour chacun des deux sujets).

Les points maîtres de l’oreille sont en quelque sorte des sentinelles manifestant la vitalité du corps, soit à l’état normal soit en cas de pathologies plus ou moins complexes. La baisse d’impédance d’un point semble bien en relation avec son aspect orthosympathique, traduisant une défense active contre les agressions. Compris ainsi, le contrôle de points maîtres en baisse d’impédance pourrait aider à une approche diagnostique et pronostique.

La synthèse des résultats

Une forte majorité des patients sont droitiers ; l’analyse de l’ensemble des résultats fera abstraction de la latéralité individuelle.

Dans la totalité de la population observée, tant à l’oreille droite qu’à l’oreille gauche, les points les plus souvent contrôlés en baisse d’impédance sont le point zéro et le point maxillo-dentaire.

Chez les sujets à formule neuro-végétative dite équilibrée, les points les plus souvent contrôlés en baisse d’impédance sont : maxillo-dentaire, zéro prime et zéro à l’oreille droite, alors qu’à l’oreille gauche ce sont : shenmen, oméga, zéro et maxillo-dentaire.

Chez les sujets à formule neuro-végétative à dominante, dits vagotoniques, le point le plus souvent contrôlé en baisse d’impédance est le point merveilleux à l’oreille droite, alors qu’à l’oreille gauche ce sont : zéro, shenmen et maxillo-dentaire.

Chaque pavillon de l’oreille présente t’il un intérêt privilégié ?

En cas de formule neuro-végétative équilibrée, les points en baisse d’impédance sont en répartition comparable à l’oreille droite et à l’oreille gauche.

Par contre, en cas de formule de type vagotonique, les points en baisse d’impédance sont moins nombreux à l’oreille droite, alors qu’ils sont plus nombreux à l’oreille gauche !

Ces constatations doivent permettre d’espérer une meilleure compréhension des mécanismes de l’auriculothérapie.

Un point maître en hausse d’impédance, voire non significatif

Il nous apparaît comme étant le reflet d’une pathologie au sein de la zone qu’il contrôle. C’est ainsi que le point zéro est contrôlé en hausse d’impédance lors des pathologies digestives !

L’étalonnage du détecteur électrique systématiquement sur le seul point zéro nous semble devoir être tempéré. Le point maxillo-dentaire offre un taux de baisse d’impédance comparable. Quant au shenmen à l’oreille gauche, il offre des un taux voisin de baisse d’impédance, que les sujets aient une formule neurovégétative équilibrée ou vagotonique. Chez les vagotoniques, à l’oreille droite c’est le point merveilleux qui offre le meilleur recrutement.

Sachons donc étalonner notre détecteur électrique en tenant compte de la réalité du sujet examiné, et non plus avec une obéissance envers un dogme du passé !


Références

  1. Rouxeville Y., Méas Y. Panorama de l’auriculothérapie et de l’auriculomédecine. Paris: Springer-Verlag; 2011, p.91.
  2. Nogier PFM. Traité d’auriculothérapie. Sainte-Ruffine: Maisonneuve; 1969, p. 173.
  3. Bourdiol RJ. Éléments d’auriculothérapie. Moulins-lès-Metz: Maisonneuve; 1980, p. 260.
  4. Leclerc B. Précis d’auriculothérapie. Leclerc: Nevers; 1994, p. 70.
  5. Rouxeville Y. La détection électrique en Auriculothérapie. Annales du GLEM: Lyon; 1995, p. 6.
  6. Nogier R. Auriculothérapie 1er degré. Sauramps médical: Montpellier; 2000, p. 32.
  7. Nogier PFM. Introduction pratique à l’auriculothérapie. Maisonneuve: Sainte-Ruffine; 1977, p. 70.
  8. Nogier P, Nogier R. L’homme dans l’oreille. Maisonneuve: Sainte-Ruffine; 1979, p. 87.
  9. Oleson TD. Auriculotherapy Manual. Health Care Alternatives: Los Angeles; 1990, p. 115
  10. Rouxeville Y. Index des cours effectués par le Dr Paul Nogier du 27 février 1981 au 9 juillet 1994. Peut être consulté sur www.biblio.auriculo.fr ; 2009.
  11. Rouxeville Y, Courty D, Méas Y, Bécu p, Gesbert A, LeBel MR. Hypothèses sur la détection électrique différentielle des points d’oreille. ICAMAR n°1 (2010)
  12. Rouxeville Y, Courty D, Méas Y, Bécu p, Gesbert A, LeBel MR. Hypothèses sur la détection électrique différentielle des points d’oreille. Acupuncture & Moxibustion 2010;9(4): 275-280.
  13. Rouxeville Y, Méas Y, Bossy J. Auriculothérapie, Acupuncture auriculaire. Paris: Springer-Verlag; 2007, p. 148-151.
  14. Romoli M. Auricular Acupuncture Diagnosis. Churchill Livingstone, Edinburgh (2010), p. 49-50.

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