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Sur le repérage de l’oreille

Etude publiée par Yves Rouxeville en mars 2012 dans la Revue ICAMAR n°5.

La nécessité de disposer d’une grille de repérage sur le pavillon de l’oreille a conduit plusieurs écoles à présenter leurs propositions. Le Sectogramme de Marco Romoli a été évalué favorablement auprès de 385 confrères. C’est pour cela qu’il a notre préférence actuelle, d’autant qu’il intègre le point zéro, centre géographique du pavillon auriculaire.


Mots clés : Auriculothérapie – Dr Paul Nogier – Sectogramme de Romoli.

The need for a grid to help locate auricular points motivated many schools to come up with their own. Marco Romoli’s Sectogram received the highest rating from 385 colleagues. Romoli’s Sectogram, which includes Point Zero as the geographic center of the auricle, is currently our favorite auricular grid.


Key words : Auriculotherapy – Dr. Paul Nogier – Romoli’s Sectogram.

Ayant pris connaissance en novembre 2011 de la nomenclature de David Alimi, ainsi que de l’argumentaire qui l’accompagne : « De la nécessité d’avoir une nomenclature internationale d’auriculothérapie1 », je me suis longuement interrogé sur cette nouveauté.

David Alimi développe même un « Argumentaire scientifique d’une proposition de Nomenclature internationale pour l’Auriculothérapie proposée à la W.F.C.M.S. pour soumission à l’O.M.S. ». Or, un début de nomenclature a été réalisé dans le cadre de l’O.M.S. en 1987, puis en 1990 [1]. Il fut l’objet d’un accord a minima entre quarante experts au plan mondial. Je m’étonne que ce texte si important n’ait pas été cité par David Alimi. Certes, il cite Paul Nogier (†), mais nulle part dans son texte je n’ai lu la moindre référence aux textes princeps [2-5] du découvreur reconnu de l’Auriculothérapie, ce qui pourrait laisser penser à une attitude partiale, par omission.

Outre une attitude partiale, force est de constater une vision partielle : en France, il existe un certain degré de reconnaissance des médecines alternatives et complémentaires. Ce fait est la conséquence de l’engagement du Dr Jacques Niboyet (†) [6] et celui du Pr. Jean Bossy (†) [7,8]. Il est toujours élégant de ne pas omettre le travail des anciens, dont nous sommes bénéficiaires !

Les parties de l’oreille sont plus ou moins vastes. En 1990, le travail à l’O.M.S. avait été de définir des codes pour les zones : MA-AH pour Anthélix, MA-LO pour Lobule, MA-PI pour la gouttière retro-anthélicale, etc. [9] Cette base consensuelle a minima fut établie au plan mondial, les Chinois compris. Un travail débuté en commun justifie d’être poursuivi en commun et non de façon solitaire !

L’incroyable variabilité morphologique de l’oreille impose de trouver un repérage simple. Diverses écoles ont proposé différents systèmes. Le quadrillage auriculaire peut ainsi devenir l’image de son auteur : peut être plus ou moins clair ou compliqué, simple, utile ou inutile.

Le sectogramme de Romoli a été évalué ; c’est l’outil qui me semble être le plus adapté car il est facile à comprendre, pratique et dans la logique qui gouverne l’auriculothérapie depuis 50 ans (figure 1) [10,11].

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Figure 1. Le Sectogramme de Romoli (2003).

Paul Nogier le considérait comme un « centre géographique commode pour la détermination précise » [3].

Il est situé au niveau où la racine de l’hélix devient branche montante, à l’endroit précis où le relief s’élève hors de la conque… Il est repérable grâce à une incisure cartilagineuse qui donne un ressaut lorsqu’on explore la région avec une arête transversale ou avec l’ongle [4].

« L’oreille présente un point central, situé à la racine de l’hélix. Il représente le nombril et le plexus solaire. Je l’ai appelé le point zéro » [5].

Plus tard, il nous enseigne avoir observé : Son rôle est tout à fait particulier. Il commande en effet toute l’oreille et son énergie. Il permet d’isoler certains points jusqu’alors muets, lorsqu’il est stimulé par piqûre ou par courant électrique [5].

René Bourdiol (†), cite lui aussi le point zéro du pavillon, que l’on sait être la projection ombilicale et solaire [12].

En Juin 1987, Paul Nogier nous disait qu’à son avis le point zéro représente le centre d’équilibre du corps humain, de son dynamisme [13].

Certains de mes élèves de Nantes l’ont même appelé « le point de l’Auriculo pour les nuls » !

Le point zéro est détaillé, en particulier pour les alignements, dans le récent livre de Marco Romoli [11].

Les rayons issus du point zéro

Paul Nogier décrit [3] un système géométrique issu du point zéro, que nous considérons comme essentiel, quarante ans après la description princeps.

Ce centre géographique est également un centre physiologique, et les rayons qui en sont issus peuvent être assimilés à de véritables lignes de force reliant les points qui les composent…

Tout se passe comme si le pavillon tout entier dépendant de ce point zéro, véritable vanne dont l’ouverture et la fermeture se déclencheraient à volonté sous l’influence d’une piqûre ou d’un courant.

Les alignements de points [14]

René Bourdiol a décrit des alignements de points sur un rayon issu du point zéro, en indiquant la valeur capitale du point de bordure et du point zéro [12].

Paul Nogier a observé qu’après la piqûre d’un point, on pouvait détecter, à la surface du pavillon de l’oreille, jusqu’à douze rayons faisant entre eux un angle de 30° centrés sur ce point. [14]. Sur la figure 2, le point zéro émet des rayons. On considère que les points gris notés sur les rayons sont secondaires au point central blanc (le point zéro).

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Figure 2. Les douze rayons à 30°.

L’important est une transcription correcte de ce que l’on a observé. Une mauvaise transcription est un biais majeur dans la réalisation des études thérapeutiques ou des études multicentriques, mais aussi pour annoter correctement le dossier d’un malade, pour demander l’avis d’un collègue plus qualifié par Internet, ou encore pour que l’étudiant recopie correctement le schéma de l’enseignant.

La grille de R.A. Durinyan (1983)

C’est l’œuvre du Soviétique R.A.Durinyan (), ce qui explique sa méconnaissance dans le monde de l’Ouest. Formée de douze secteurs de 30° issus du point zéro (figure 3), elle permet de comparer facilement des séries de patients ayant la même pathologie, ainsi que d’identifier le diagnostic métamérique (muscle, os, viscère, etc.).

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Figure 3. La grille de R.A. Durinyan.

La grille de René Kovacs (1983)

C’est un quadrillage portant en abscisses des lettres de A à O, et en ordonnées des chiffres de 1 à 26 (figure 4) ; il s’agit de coordonnées orthogonales (à 90°). Son intérêt essentiel est didactique, sur le papier car son inconvénient majeur est de ne pas s’adapter aux différentes formes d’oreille. Ce qui explique que la grille de Kovacs () ait été rapidement abandonnée par Paul Nogier.

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Figure 4. La grille de Kovacs.

Les zones de Terrence Oleson (1990)

Cette cartographie présente des surfaces numérotées de forme variable et s’adaptant aux reliefs du pavillon (figure 5). Elle détaille des zones essentielles (le mur de la conque et d’autres zones cachées), mais la grande variabilité de morphologie des oreilles me conduit à considérer cette proposition plus comme une très intéressante théorie philosophique que comme une aide médicale pratique.

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Figure 5. Les zones d’Oleson

Le Sectogramme de Marco Romoli (1981 – 2003)

En 1981, Romoli invente un premier Sectogramme de vingt secteurs recouvrant le pavillon. En 1986, il prend connaissance de la grille de R.A. Durinyan. Ces deux propositions intègrent le point zéro pour centre. Plus tard, M. Romoli présente une nouvelle version2 comportant 40 secteurs (de 8° à 11°) sur la seule face latérale (externe) du pavillon (figure 1).

Romoli a évalué en 2003 le Sectogramme auprès de 152 collègues en cours d’apprentissage : les erreurs de transcription furent de 19 (12,5%), surtout pour l’anthélix, fort peu pour le lobule. Romoli a fait une évaluation de son Sectogramme (SG) [10], de 2004 à 2007. En 2010, les 152 sont devenus 385 médecins en formation à l’auriculothérapie. L’usage du SG permet une très bonne précision de transcription correcte des points (P<0,001) [11].

C’est pour cela que le Conseil Scientifique d’Auriculo Sans Frontières a retenu le Sectogramme de Romoli comme grille de travail pour nos études thérapeutiques et nos études multicentriques. Le seul défaut de cet outil est que les faces postérieures (mastoïdiennes) des oreilles sont exclues.

De plus, chaque secteur correspond à un étage métamérique. Le Pr. Jean Bossy savait insister en nous rappelant qu’un dermatome a pour zone d’influence deux niveaux au dessus et au dessous, en raison d’interneurones segmentaires !

Le point zéro, non décrit par les Chinois, est repris par Romoli. Il marque le début de l’enroulement de l’hélix, contemporain de l’enroulement du télencéphale [12]. À la fois point source, centre géographique et point central du pavillon auriculaire, ce point maître est un lieu de premier plan !

Le Segmentogramme de David Alimi (2010)

David Alimi a créé le Segmentogramme pour sa Nomenclature (figure 6). Elle comprend une 1ère abaque divisant le pavillon auriculaire en 189 zones sur la face latérale (externe) et une 2ème abaque divisant le pavillon en 89 zones sur la partie médiale (interne). L’ensemble réalise un segmenteur recouvrant la totalité de la surface auriculaire, permettant d’établir un Auriculogramme précis.

David Alimi dit se baser sur la neurophysiologie. Il présente sa cartographie comme universelle, étant un modèle biomathématique de la neuroanatomie cérébrale dont les pavillons en sont un hologramme. Son épicentre est le point zéro prime (au centre du tragus), qui serait pour lui la représentation du corps calleux. Ces deux propositions interrogent, et ceci de manière légitime :

Le système nerveux peut-il se représenter lui même à l’oreille ? La cartographie de l’O.M.S. (1990) ne comporte pas de points sur le lobule : le Pr. Jean Bossy (†) réfutait la possibilité que le S.N.C. y soit représenté. Il est vrai que le cerveau est interprétatif, et non pas récepteur. Le traitement de ces zones étant efficace sur certains symptômes et certaines fonctions, on peut légitimement estimer agir non pas directement sur les organes nerveux, mais indirectement sur leurs vaisseaux.

Le tragus représentant les commissures inter-hémisphériques, dont le corps calleux, ne semble être qu’une théorie. Le 6 octobre 2006, au V° Symposium, le Pr. Rabischong s’est élevé contre cette interprétation personnelle, ce concept dangereux, ce dérapage sémantique difficile à exporter. L’expérience nous confirme que le tragus est une sorte de synthèse du pavillon auriculaire ; mais cette constatation n’est que le fruit de l’observation, et donc une simple théorie explicative !

Les réponses à ces deux questions, que nous avons présenté comme plausibles au plan didactique, relèvent de l’avis compétent d’Agrégés en Neurologie, seuls habilité à confirmer ou infirmer. Déjà, le Pr. Jean Bossy nous conseillait d’éviter les affirmations et interprétations erronées, susceptibles de nous fermer les portes de l’Université comme ce fut le cas dans les années 80 !

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Figure 6. Le Segmentogramme d’Alimi.

Les auriculothérapeutes sont des médecins passionnés, sinon ils auraient opté pour la rédaction d’ordonnances médicamenteuses stéréotypées. Le Segmentogramme d’Alimi est une découverte intéressante, une avancée qui va dans le détail sans pouvoir faire l’unanimité à ce jour. Il risque également d’engendrer un certain nombre d’autres propositions fort légitimes, ayant pour centre :

  • Le foie pour ceux qui considèrent primordial cet organe, usine chimique qui fabrique des protéines, gère de nombreux métabolismes et détoxique notre corps,
  • Le pied (voire l’œil) pour les posturologues qui ont toute légitimité pour ce choix,
  • L’utérus pour les femmes (« tota mulier in utero »),
  • L’amygdale cérébrale, qui règle nos émotions et nos peurs au sein du système limbique,
  • L’intestin grêle ou le pancréas, dont les insuffisances engendrent tant de dysfonctions,
  • Le point de Bosch, si l’on considère que le sexe mène le monde,
  • Or le sexe ce n’est que le petit bout de la lorgnette, si je puis m’exprimer ainsi, car l’hypophyse règle en grande partie les sécrétions des gonades,
  • Etc., etc., etc., en fonction des conceptions ou des hypothèses de chacun !

En fait, l’idéal ne serait-il pas une oreille en trois dimensions sur laquelle chaque école poserait ses propres localisations, son Sectogramme ou son Segmentogramme… On peut toujours rêver !

David Alimi présente les « coordonnées cartésiennes des points d’auriculothérapie ». Or, l’adjectif cartésien correspond au cerveau gauche, celui de la raison, plus analytique par rapport au cerveau droit, celui de l’émotion, plus global.

Antonio Damasio, auteur de « L’erreur de Descartes » [15], a montré que les émotions sont indispensables à la validité de nos raisonnements. Il démontre que les récentes découvertes en neurophysiologie contredisent l’opposition traditionnelle entre raison et émotion. L’important pour nous est que les deux hémisphères cérébraux fonctionnent bien ensemble, afin de produire une conscience correcte (conscience étant employée au sens ressenti d’un état de l’organisme, dont l’objectif serait de maintenir la vie le mieux possible).

Ne désirant pas être impliqué dans un système dépassé, je réfute les « coordonnées cartésiennes ».

Les différents courants de l’Auriculothérapie expliquent les diverses approches :

  • Méconnue des Chinois avant les découvertes de Paul Nogier, l’auriculothérapie est pratiquée dans le monde entier. Il existe deux grands courants dans le monde : l’auriculo-acupuncture à partir de la Chine, et l’acupuncture auriculaire dans le monde occidental. Les pays de l’ancien bloc soviétique pratiquent un mélange des deux techniques.
  • En France, deux groupes s’affirment dans le sillage de Paul Nogier : d’une part l’école lyonnaise qui regroupe le GLEM et l’EIPN (la référence historique) se référant à la médecine expérimentale, d’autre part l’enseignement dit unifié (Facultés de Médecine de Nantes et de Sfax, Université de Médecine Traditionnelle Tibétaine à Sarnath en Inde, Auriculo Sans Frontières) qui enseigne l’auriculothérapie clinique en utilisant les neurosciences.
  • La Faculté de Médecine de Paris XIII (Bobigny) s’affirme héritière de René Kovacs. Elle propose une formation de neurosciences appliquée à l’auriculothérapie.
  • La puissante école allemande, dirigée par Frank Bahr (lui aussi élève de Paul Nogier), s’efforce d’établir des ponts entre l’auriculothérapie occidentale et les médecines traditionnelles chinoise et indienne.

Dans son approche scientifique, la Médecine doit beaucoup aux non médecins que furent Claude Bernard et Louis Pasteur, au XIX° siècle. Mais, pour la médecine du XXI° siècle, les théories et l’empirisme sont considérés comme un acquis. L’évaluation des pratiques (aux plans du diagnostic et des résultats thérapeutiques) associée à des publications, est devenue une nécessité, un canon exigible. Il semble bien admis que l’avenir de l’auriculothérapie dans notre pays sera déterminé par les travaux et les publications des différentes écoles, et non plus au travers de théories non validées ou d’hypothèses non confirmées.

Force est de constater qu’il existe plusieurs courants en Auriculothérapie. Il est donc parfaitement logique que des opinions différentes se manifestent, et que des projets différents se réalisent.

Alors qu’une question philosophique conduit généralement à plusieurs réponses (lesquelles peuvent être contradictoires), il est habituel d’avoir une ligne directive dans la Médecine du XXI° siècle.

Diverses attitudes peuvent être observées dans les échanges entre écoles médicales :

  • La « boxe marseillaise » qui consiste à crier plus fort que l’adversaire pour gagner en le décourageant,
  • Présenter une Hypothèse comme une Vérité, ou de façon prématurée, et risquer ainsi d’être cité dans la prochaine édition du « bêtisier qui rend intelligent » [16],
  • S’entourer de Conseillers se comportant comme des critiques actifs,
  • Profiter des découvertes du labeur incessant d’un Chercheur insatisfait, entraîné par une série d’intuitions confinant au Génie.

Nous avons également connu, dans les années 70 et 80, l’expression de multiples délires, exprimés par ceux qui prétendaient refaire le monde à partir de l’oreille. Souhaitons qu’un respect mutuel des autres écoles permette à l’Auriculothérapie la poursuite d’un développement serein et harmonieux.


Références

  1. World Health Organization. Report of the Working Group on Auricular Acupuncture Nomenclature. W H O., Genève (1990).
  2. Nogier P Le pavillon de l’oreille. Zones et points réflexes. Bulletin de la Société d’Acupuncture n°20 (mai 1956), article repris dans la revue Auriculomédecine n°21 (1980). Maisonneuve, Sainte-Ruffine.
  3. Nogier PFM. Traité d’auriculothérapie. Maisonneuve, Moulins-lès-Metz (1969).
  4. Nogier PFM Introduction pratique à l’auriculothérapie Maisonneuve, Moulins-lès-Metz (1977), réédité par Satas, Bruxelles, 1997.
  5. Nogier P, Nogier R. L’homme dans l’oreille. Maisonneuve, Moulins-lès-Metz (1979).
  6. Niboyet JEH. Rapport sur certaines techniques de soins ne faisant pas l’objet d’un enseignement organisé au niveau national (publié avec l’autorisation de la D.G.Santé). Maisonneuve, Sainte-Ruffine (1984).
  7. Bossy J, Prat-Pradal D, Taillandier J. Les microsystèmes de l’acupuncture. Masson, Paris (1984).
  8. Guilloux R De l’exotique au politique : la réception de l’acupuncture Extrême-Orientale dans le système de soins français (XVIIe-XXe siècles). Thèse de Sciences Politiques. Institut d’Études Politiques, Lyon (2006).
  9. Rouxeville Y, Méas Y, Bossy J. Auriculothérapie, Acupuncture auriculaire. Springer-Verlag France (2007)
  10. Romoli M. Agopuntura Auricolare. Utet, Torino (2003).
  11. Romoli M. Auricular Acupuncture Diagnosis. Churchill Livingstone, Edinburgh (2010).
  12. Bourdiol RJ. Éléments d’auriculothérapie. Maisonneuve ; Sainte-Ruffine (1980).
  13. Rouxeville Y. Index des cours effectués par le Dr Paul Nogier du 27 février 1981 au 9 juillet 1994. Peut être consulté sur www.biblio.auriculo.fr (2009).
  14. Rouxeville Y, Méas Y. Panorama de l’auriculothérapie et de l’auriculomédecine. Springer-Verlag France, Paris (2011).
  15. Damasio A. L’erreur de Descartes. Odile Jacob (1995).
  16. Lentin J.P. Je pense donc je me trompe. Albin Michel, Paris (1994).

Avec tous mes remerciements au Dr Marco Romoli, pour son aimable autorisation de reprise des figures 1 et 6, parues en pages 27 et 28 de son livre « Agopuntura Auricolare », à Terry Oleson PhD pour l’autorisation de reproduction de la figure 5, et au Dr David Alimi pour la reproduction de son Segmentogramme.

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